Ils attirent notre appareil photo comme le miel. Irrésistible.  S’il est plus difficile comme étranger de photographier les enfants des autres dans les pays occidentaux, en Asie et en Afrique, les enfants viennent vers nous, vers l’objectif, prennent plaisir à se voir dans l’écran arrière. Réciproquement, ils nous invitent dans leur monde avec leur regard unique.  Voici une invitation à découvrir le regard éloquent des enfants congolais.  

Bienvenue à notre rendez-vous .  Merci encore une fois pour votre présence, pour vos mots, vos commentaires, vos partages.  Ils sont beaucoup appréciés.

Cette semaine, je vous invite à découvrir le regard des enfants congolais.  Nuls mots accompagneront votre découverte.  Vous n’avez pas besoin de mes mots. Ils sont superflus. Laissons la parole aux photos et aux enfants présents.  Au passage toutefois, vous noterez le choix de la perspective selon les photos.  Cette dernière est très importante lorsqu’on photographie des enfants.  Veut-on le regard de l’adulte sur ces derniers (plongée) ou plutôt un regard de même niveau?  C’est un choix déterminant selon la photo que vous souhaitez réaliser.

Regard sur les enfants du Congo avec un traitement photo appuyé, sans doute inspiré par la photographie en noir et blanc du brésilien Sebastião Salgado et du document de Wim Wenders, « Le sel de la terre« .  Les occasions de photographier les enfants sont trop rares, uniquement possibles lorsqu’on s’éloigne de Kinshasa et qu’on se trouve dans les communes limitrophes ou des villages.  Il faut alors en profiter pleinement.

N’hésitez pas à commenter.  Vos mots sont importants tout comme votre présence.