Réponse à vos questions: quel choix d’équipement?

C’est toujours avec beaucoup de plaisir que je prends connaissance de vos commentaires après la publication d’un article.  Je l’écris souvent: vos mots sont importants, qu’il s’agisse d’observations, de suggestions, de partages que vous faites généreusement pour le bénéfice des autres lecteurs.  Y’a aussi vos questions qui sont importantes.  C’est de la Belgique que le copain  Dominique-André me suggère certaines pistes à explorer au cours des prochaines semaines et soulèvent quelques questions.  L’une d’elle semble avoir trouvé un certain écho chez certains.  Où va la photo avec l’émergence certaine des « smartphones »?  Y’a-t-il encore un avenir pour les compacts?  Les boîtiers?  Si on envisage l’achat d’un nouvel équipement, quel choix faire?  Le moment est-il à l’angoisse ou plutôt à la jubilation?

Merci pour votre interrogation à voix haute Dominique-André.  Il ne s’écoule pas une semaine sans que des nouveautés fassent leur apparition sur le marché.  Nouvelles lentilles, nouveaux boîtiers hybrides, amateurs, semi-pro, pro, accessoires, smartphones. Pas une semaine ne passe sans que dans la multitude des articles de blogue que je parcours, on ne fasse état de nouvelles sur l’état du marché, sur les tendances ou encore qu’à l’occasion, un photographe blogueur signe un article sur les changements technologiques qu’il envisage ou qu’il vient de faire en jutisfiant ledit changement.

Le marché est manifestement en mouvance.  Ou plutôt,  la pratique photographique l’est, devrais-je écrire.  Si auparavant on pouvait définir le métier avec l’outil, ce n’est plus le cas maintenant.  Auparavant on était photographe ou on pratiquait la photographie parce qu’on avait un appareil photo.  D’aucuns considéraient qu’on était photographe parce qu’on avait un boîtier avec une ou plusieurs lentilles alors qu’un appareil compact ne faisait pas vraiment sérieux, surtout s’il se glissait dans une poche.  La catégorie des appareils « rangefinder » style Leica ou encore plus récemment aux allures Fuji X100 font sérieux. Mais il s’agit d’exceptions.

Arrivent les « smartphones » avec leurs possibilités photo.  Si dans un premier temps, celles-ci étaient relativement limitées, leur potentiel a vraiment explosé et s’est imposé au cours des deux dernières années.  Mécaniquement, les capteurs deviennent de plus en plus performants.  Certaines fonctions s’ajoutent.  Certaines applications font office de contrôle pour les modes manuels.  Malheureusement, on assiste aussi à la course aux mégapixels alors qu’on devrait tirer des leçons du marché des compacts où beaucoup de mégapixels ne signifient pas nécessairement  une meilleure qualité de résolution.  Na-t-on pas vu Canon à un moment réduire le nombre de mégapixels sur un modèle comparativement à son prédécesseur?  Signe que trop…c’est trop.

Pourquoi la photographie avec les « smartphones » connait-elle autant d’engouement?  Pour un, parce que nous les avons continuellement avec nous.  Voilà enfin un appareil à notre portée, ne pèse rien, qui – grâce à de nombreuses applications – ne nécessitent pas de télécharger des fichiers sur un ordinateur pour traiter les photo et pour les transmettre. Le « smartphone » est vraiment ce mini-ordinateur qu’on entrevoyait.  En prime, contrairement à un boîtier, pas de menu complexe à comprendre, gérer.  On veut prendre une photo?  Clic!

Pas étonnant qu’on assiste à toutes sortes d’envolées autour des « smartphones ». Exposition de photos d’un « roadtrip » réalisées avec « smartphone » seulement, photos de correspondants de guerre, photos d’événements, photos de rue. Signe de temps, même mon magazine photo préféré, Réponses Photo, consacrait récemment un numéro complet à la photo sans appareil photo.

Devant l’érosion rapide et fulgurante du marché des appareils compact, quelle est la riposte des manufacturiers?  Les appareils hybrides, sans miroir, moins lourds que les boîtiers traditionnels.  Arrivent donc les Panasonic, Fuji, Olympus, Sony, Nikon, Samsung qui misent sur la légèreté.  Certains ont la cote et certains modèles font rêver.  Certains pros ont délaissé les classiques (Nikon, Canon) pour basculer dans le camp des hybrides, qu’il s’agissent du plein capteur Sony ou encore les modèles Fuji ou Olympus.  Curieusement, Canon, conservateur, n’a pas beaucoup exploré le secteur des appareils hybrides et des lentilles pour ceux-ci.

Que faire?  Que choisir, d’autant plus que les promotions se feront plus importantes d’ici peu à l’approche des vacances?  Il faut à mon avis revenir à certains points de base.

L’essentiel est ailleurs

Ce n’est pas l’outil qui produit de belles et bonnes photos.  C’est vous.  Vos photos ne seront pas meilleures parce que vous avez fait le passage d’un compact à un plein capteur.  Elles seront meilleures parce que vos connaissances techniques, votre vision et votre créativité se marieront bien avec l’équipement que vous avez entre les mains.  Point à la ligne, ni plus, ni moins.  Dans mon cours portant sur une meilleure connaissance de l’appareil photo, voilà la première chose que je signale à mes étudiants.  Ils ont tous entre les mains un équipement leur permettant de réaliser de très bonnes photos, qu’ils s’agissent d’hybrides, de compact, de boîtiers.  Personne ne s’est pointé dans mon cours avec un smartphone uniquement mais si c’était le cas, cette personne serait la bienvenue. 🙂

« Y’é à la maison »

© Louis Lavoie photo. N'hésitez pas à commenter cette photo si elle vous plaît. You like this photo? Don't hesitate to comment.

Vous avez une scène intéressante et photogénique devant les yeux. Un moment intime sur la place publique. Tout y est pour capter une photo touchante et qui fera vibrer plusieurs. Tout?  Non.  Il manque votre équipement photo.  Il est où?  « Y’é à la maison » comme on dit chez nous.  Ce magnifique plein capteur et vos quatre lentilles fixes et lumineuses sont à la maison.  Misère.  La photo ne se réalisera pas.  Elle sera enregistrée dans votre disque dur intérieur mais vous ne pourrez la partager sauf avec vos mots. Un équipement photo quel qu’il soit a peu de valeur s’il n’est pas mis à profit. Trop souvent, le choix d’un couple boîtier-lentilles traditionnel n’est pas le meilleur pour des personnes qui trouvent le tout trop lourd, trop encombrant.  Voilà que les alternatives ne manquent plus. Reste à déterminer laquelle vous convient.

Les frontières floues

© Louis Lavoie photo. N'hésitez pas à commenter ou à vous procurer cette photo si elle vous plaît. You like this photo? Don't hesitate to comment or order.Pendant longtemps, j’aurais pu écrire: « Dites-moi le type de photos que vous aimez faire et je vous dirai l’équipement à privilégier. » Toutefois, une telle affirmation est beaucoup plus difficile à faire aujourd’hui. Alors qu’on aurait pu croire, par exemple, que les amateurs de longue exposition doivent forcément privilégier le couple boîtier-lentille habituel, voilà que je viens de lire qu’une application pour smartphones permet la longue exposition – avec trépied bien entendu (tout comme pour le couple boîtier-lentille).  Même dans les compacts « expert », on retrouve un filtre de densité neutre pour augmenter la durée d’exposition.   Décidément, les frontières sont maintenant floues dans les possibilités et les types d’équipement.  Il reste quelques chasses gardées telles la photo sportive, la macro, la photo architecturale pour nommer quelques exemples.  Dans ce dernier cas, nous aurons peut-être éventuellement des lentilles à décentrement pour hybrides.  Samyang?

L’instantanéité

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L’instantanéité est-elle un impératif?  Pour certains oui, pour d’autres non. Certains comme moi résistent et privilégient la qualité à la rapidité.  Mais tous n’ont pas ce point de vue. Avec l’ajout de la fonction Wi-fi dans certains appareils et cette possibilité inhérente aux « smartphones », l’instantanéité est à la portée de tous.  Essentielle pour les photojournalistes, un atout pour les blogueurs ou ceux et celles qui sont de véritables livres ouverts dans les médias sociaux. Ne passons de jugement trop hâtif sur ces photos instantanées.  Elles seront le reflet de notre société actuel pour les anthropologues du futur.  Pour ma part, et pour le moment, je continue de privilégier le traitement dans la chambre noire numérique.

Angoisse ou jubilation?

© Louis Lavoie photo. N'hésitez pas à commenter cette photo si elle vous plaît. You like this photo? Don't hesitate to comment.
Jubilation.  Toutes ces nouvelles possibilités sont pour moi autant de possibilités de faire plus de photos encore, d’avoir en tout temps un appareil à portée de main.  Je l’indique souvent dans mes articles, je m’applique toujours à avoir en ma possession au moins mon G15 à défaut de mes autres boîtiers.  Malheureusement mon « smartphone » actuellement est un Blackberry et cette compagnie n’a jamais véritablement soigné la fonction photo de ses appareils.

Que privilégier?  Un peu de tout.  Voilà ce qui me vient à l’esprit.  J’ai besoin de ce boîtier pro pour les contrats et les projets qui me sont confiés ou que j’entreprends: la photo d’événement, sportive, portrait, paysage, macro.  J’ai besoin d’un appareil compact pour cette photo de rue que j’aime bien faire.  J’aimerais bien éventuellement ajouter dans un 2e sac photo un équipement avec un boîtier hybride pour les fois où le poids fait une différence: photo voyage, photo de rue aussi.  Finalement un smartphone pour cet outil à portée de main.  Je ne suis pas partisan de l’instantanéité à tout prix mais pour les fois où ce serait nécessaire, vive le smartphone.

J’espère avoir répondu à votre question Dominique-André et apporté un éclairage à ceux et celles qui sont à explorer des hypothèses pour un éventuel achat. N’hésitez pas à envisager une solution 1) qui répondra à vos besoins, 2) vous accompagnera fréquemment et 3) que vous aurez du plaisir à manipuler.  La photo est source de créativité et de passion.  L’équipement n’est qu’un moyen, pas une destination.

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9 commentaires pour Réponse à vos questions: quel choix d’équipement?

  1. Racan dit :

    Ce Monsieur Dominique-André semble être un fameux inculte de la photographie : assez grave de lire de telles inepties. Y en encore qui confondent encore art photographique et smartphone humanitaire !!!
    On va le laisser avec ses chips et son coca !

  2. L’essentiel est dans le résultat final d’une photographie et je dirais même d’une photographie tirée sur papier. Ne tombons pas dans les effets de mode des photographies réalisées avec des gadgets pour photographes peu sérieux. Déjà que les photographes médiocres (90 % des livres photographiques actuels sont à mettre dans la poubelle dit Jean Mounicq !) sont trop nombreux. Si en plus on doit se farcir les photos réalisées avec un smartphone de la jolie fleur, du petit chat, de la cuisse d’une femme dorée au soleil couchant, on n’est pas sorti de l’auberge ! Le smartphone en photographie est à l’objectif fixe 35 mm ce qu’est un imposteur en photographie à Roger Ballen ou à Duane Michals. Ces derniers noms n’étant pas des marques de Smartphone !
    Vous comprendrez donc qu’il faut aussi de la culture photographique avant de mesurer les pixels d’impression d’un Smartphone ! La culture photographique, la vraie… pas celle de surface. La culture qui vous aide à croître et à distinguer le talent de l’esbroufe. Celle-ci se passant aisément de la technique.
    Sans vouloir nier l’importance de certains progrès techniques, je ne pense pas qu’un blog sérieux en photographie ou qu’une revue photographique sérieuse et digne de ce nom ont pour rôle de nous parler de ce qui évacue l’essentiel.
    Que les photographes apprennent d’abord à faire de bonnes photos (pas des belles photos hein !).

    • Dominique-André dit :

      Bonjour,

      Avec une telle réponse, nous sombrons littéralement dans le sectarisme, le totalitarisme, l’élitisme et le communautarisme le tout bien entendu photographique. Il faut se « farcir » le petit peuple prolétaire, ignare et inculte en Art photographique. La honte quoi ! … Monsieur, personne ne vous oblige à les « regarder » ces images au lieu de vous les farcir. Pour ces « pauvres terriens », ces « petits chats » ou ces pots de fleurs ont leur(s) raison(s) d’être. Point barre. Pour les auteurs de ces images, ce sont des moments de leur vie et vous vous permettez avec vos propos de cracher dessus. Ni plus ni moins. Vos paroles honteuses placent automatiquement la photographie comme étant un Art réservé à une « élite intellectuelle » snobant par là, tous souvenirs d’une vie, d’un être humain normalement constitué et vivant dans son époque et son temps. En ce comprit la cuisse, j’espère jolie et dorée, d’une femme sur une plage. Sûr que Nikon, Canon, Olympus, Sony ou encore Samsung ou Apple, fournisseurs de dizaines de milliers d’emplois de par le monde, apprécieraient votre commentaire… Parce que bien entendu, ils NE comptent que sur les artistes photographes pour vivre…

      Petite et modeste anecdote pour votre édification et qu’elle vous serve de leçon en espérant qu’elle vous humanisera quelque peu … J’ai connu une femme qui ayant accouché de son bébé voici peu, a fait avec son « smartphone » de merde vraiment pas digne de Cartier Bresson et autres Maîtres, des photos de son petit. Quelques jours après l’accouchement, son bébé est mort de la mort des nourrissons.Ces photos réalisées avec son smartphone de merde à objectif 35mm de merde, elle les a tirée sur papier et encadrées. C’est tout ce qu’il lui reste de son enfant.
      Oseriez-vous tenir vos propos tenus ci-dessus face à elle ? Je ne le pense pas.

      Un smartphone Monsieur… Un vulgaire et merdique smartphone à 8mpx et quelques centaines d’Euro…

      à bon entendeur, je ne vous salue pas.
      Dominique-André Brichaux

  3. Dominique-André dit :

    Bonjour Monsieur Louis 🙂

    Vous allez me faire rougir de l’autre côté de l’Océan … Merci pour votre réactivité et votre opinion parfaitement écrite et décrite ici dans ce bel article. Rassurez-vous, je n’angoisse pas avec ces nouvelles avancées technologiques concernant les smartphones mais quant on sait les millions et je dis bien millions de photos envoyée sur Internet, je trouvais le sujet intéressant et interpellant… Pour ma part, je reste fidèle à ma conviction que rien en l’état ne remplacera un bon reflex et si possible au format FX … Pour en revenir aux smartphones, je n’ai pas encore trouvé de réponses concernant les formats possibles pour les tirages sur papiers des photos faites avec un smartphones… et même, j’ai une sous-question … et oui … est-il possible de rajouter des pixels pour pouvoir tirer en un format plus grand (ex poster) avec l’ajout des pixels si possible et sous quel programme ??? 😉 belle semaine ^^

    • Bonjour Dominique-André. En réponse à votre autre (excellente) question, voici une façon de faire les calculs.

      Un pixel est un point de couleur (y compris un noir ou un blanc). Pour faire une photo, vous comprenez qu’il doit y avoir un certain nombre de points de couleur (ou de noir et de blanc). Il doit y avoir un certain nombre de pixels, une certaine densité d’informations visuelles. Dans le cas d’un appareil photo, supposons pour fins de calcul que celui-ci a un capteur de 10 megapixels, c’est-à-dire de 10 000 000 pixels (ou 10 millions de pixels). Pour chaque photo prise, le capteur a la possibilité de mettre sur sa surface 10 000 000 points de couleur pour faire une photo.

      Pour vérifier, les dimensions habituelles d’une photo prises avec un capteur de 10 megapixels sont de 3902 pixels de largeur x 2588 pixels de hauteur. Comment le savoir? Si vous avez un système d’exploitation Windows, le bouton droit de votre souris vous permet d’ouvrir une fenêtre à l’intérieur de laquelle vous pouvez accéder aux «Propriétés» du fichier. Dans l’onglet «Détails», vous pourrez lire le poids du fichier de même que la largeur et la hauteur de votre image. Dans mon cas fictif, 3 902 x 2 588 = 10 098 376, donc 10,1 mégapixels. Le compte y est. Puisque je prends mes photos généralement en mode RAW (brut), donc avec une plus grande densité d’informations qu’en format JPEG, il est normal que le poids de mon fichier soit de 12 ou 13 mégabits (ou megs). Si on se résume, le nombre de pixels représente la quantité d’informations visuelles pour constituer une photo. Le nombre de mégabits représente le poids du fichier numérique.

      Il est généralement accepté que pour imprimer votre fichier, vous avez besoin d’une résolution minimale de 200 pixels par pouce. Pour une parution dans un magazine (la plus haute qualité), on vise généralement une résolution (concentration) de 300 pixels par pouce. Mais restons-en à la résolution de 200 pixels par pouce qui est la plus répandue. Avec les dimensions de ma photo, je peux donc faire le calcul suivant:
      3 092 divisé par 200 = 19.51 pouces
      2 588 divisé par 200 = 12.94 pouces

      Voilà qu’avec mon fichier, j’ai suffisamment d’informations visuelles pour commander une impression de 18 pouces x 12 pouces. J’en ai donc amplement pour des formats 8 x 10, 5 x 7 ou encore 4 x 6.

      Plus encore, si vous comptez afficher uniquement votre photo sur le Web ou encore l’acheminer par courriel à vos connaissances, sachez qu’une résolution de 72 pixels par pouce est bien suffisante pour une lecture à l’écran d’ordinateur. Pour un affichage à l’écran d’une télévision haute résolution, les meilleures résolutions ont présentement un format de 1 920 x 1 080 ce qui veut dire que votre fichier devrait avoir un montant de 2 millions de pixels pour bien paraître à l’écran. Avec un fichier original de 10 mégapixels comme dans le cas de mon exemple, vous avez amplement de marge de manoeuvre.

      Je sais que je m’exprime avec les mesures anglaises. Malgré que nous ayons fait le passage au métrique il y a quelques décennies, je suis à la traîne. Beaucoup. 😦 Merci à Wikipédia grâce à qui j’ai retrouvé un tableau avec les mesures métriques. À l’aide de mon exemple, je crois que vous serez en mesure de trouver vos points de repère.

      J’espère que ça répond à votre question Dominique-André.

    • Dominique-André dit :

      Décidément je vous trouve fort en forme cher Monsieur Louis ^^
      Merci beaucoup pour votre réponse, je vais l’étudier en profondeur ! Grâce à vous, j’ai au moins une base de travail pour mes calculs … Probablement que je cherchais dans une mauvaise direction les réponses à mes questions … Donc, encore une fois, un très grand merci de Wallonie où il ne cesse décidément pas de pleuvoir depuis deux semaines … « En Mai, fais ce qu’il te plaît » … M’ouais … Bonne semaine à vous et au plaisir pour de nouvelles aventures ! 🙂

  4. Chouette article. Merci Louis !

  5. Sylvain Lavoie dit :

    Cher Louis, le fil conducteur depuis la mise en oeuvre de ton blogue il y a quelques années a toujours été la passion pour l’art de la photographie, et non la passion pour l’équipement photographique. Bien sûr il faut parler d’équipement et de technologie, mais ceux-ci sont assujettis au but, très noble selon nous, de « faire de la belle photo ». Merci de nous le rappeler!

  6. Bonjour Louis,
    et bravo pour cet article complet sur les outils photographiques d’aujourd’hui!

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